Archives par mot-clé : linux

Redimensionner une partition avec parted

Un iMac G4 a récemment est récemment passé a ma porté. Je l’es tant bien que mal accepté même si son système est propriétaire. Et même si il y a du Unix la dedans j’ai tout de même voulu installer un linux en dual boot.

Premièrement mon choix c’est porté vers ubuntu. Il m’a fallut télécharger la version PPC vu que cette machine est équipé d’un Processeur de type PowerPc (imac < 2005).
Une fois dans la procédure d’installation d’ubuntu il m’a fallut redimensionner la partition principale du disque. Cependant j’ai découvert que le redimensionnement ne peut s’opérer sur les partition de type HFS lors de l’installation d’ubuntu. Il m’a donc fallu trouver un moyen différent de la redimensionner.
J’ai donc télécharger un live cd prévu pour l’architecture PPC: Finnix .
Une fois l’iso gravé et chargé au démarrage du mac (Super+S avec un clavier non mac, sinon c’est Option+S je crois) je démarre la procédure.

J’identifie le nom du disque:

fdisk --list

Dans mon cas ce sera /dev/sda

parted /dev/sda

L’interface de parted se lance
J’identifie le numéro de la partition qui m’intéresse:

print

Pour moi c’est la 5

resize 5
Start ? [360kB]?

Je valide sans rien changer

End [80.0GB]?

Je saisie 40.00GB
La procédure se lance. Dans mon cas une bonne demi-heure. Une fois la procédure terminé j’effectue un petit redémarrage pour contrôler que tout fonctionne correctement sous mac OS X. Tout est ok, reboot et démarrage sur le livecd d’ubuntu PPC puis installation !

Attention: Les pilotes graphiques ne sont pas toujours très fonctionnels. Dans mon cas ubuntu ne démarré même pas son interface graphique. J’ai réussis a avoir des pilotes fonctionnels avec cette distrib’ mais ne fonctionnant qu’en mode dégradé.

DCTC – Client pour hubs Direct connect

Je rédige cet article dans l’espoir qu’il soit correctement indexé par les moteurs de recherche afin qu’il puisse aider les rares utilisateurs de client Direct Connect en ligne de commande. Car en effet très peu de pages traite du sujet et il faut se débrouiller avec les moyens du bord.

Pour commencer un petit rappel qui contentera et permettra aux néophytes de découvrir le système Direct Connect:

Direct Connect est un protocole de pair-à-pair (P2P) au même rang que le bittorent, relativement plus accès sur l’utilisateur que sur le fichier. Une fois connecté a un hub, vous pourrez pour chaque utilisateur qui y est connecté récupérer sa liste de fichiers partagés et par la suite demander la téléchargement d’un ou de ces fichiers.

Pour en savoir plus, un site français dédié aux client graphique existe: www.directconnect.free.fr

Attaquons maintenant le vif du sujet: le client en ligne de commande. J’ai découvert il y a un moment dctc (sous licence gpl) qui permet de lancer une instance cliente a l’aide de tout plein de paramètres fort utiles.

Les sources sont disponibles: ici.

Pour l’installation, comme dit le fichier INSTALL:

Just do as usual. ./autogen.sh ; make ; make install

Ca ne va pas plus loin.

Je vous renvoie naturellement vers le manuel de dctc (man dctc) une fois celui-ci installé (ou ici). Ceci dit voilà pour exemple une ligne de commande permettant de lancer le client:

dctc -n identifiant -i "comment" -d 5 -a xx.xxx.xxx.xxx -p xxxx -g 127.0.0.1:411 -s /var/share/dcpp

Où:

  • -n: Pseudonyme du client
  • -i: Commentaire
  • -d: Nombre de slots
  • -a: IP a laquelle est accessible votre client
  • -p: Port de communication utilisé par le client
  • -g: Adresse du serveur
  • -s: Répértoire a partager

Avec ça vous aurez de quoi faire tourner un client Direct Connect en ligne de commande.

Pour contrôler ce client vous devrez utiliser la commander dctc_cmd

dctc_cmd unix_udp_socket_path DCTC_command

L’utilisation de dctc_cmd étant un peu complexe, je vous redirige vers le logiciel cccp (Red Connect Console Program) qui rajoute une couche d’abstraction entre dctc et vous.

Un tour sur le manuel de cccp et vous comprendrez rapidement son utilisation.

Si vous rencontre l’erreur suivante lorsque vous tentez de commander dctc:

connect: Connection refused

C’est que le socket utilisé par cccp (ou par vous même lorsque vous utilisez dctc_cmd) n’est pas le bon.
Exemple:

dctc_cmd /home/bux/.dctc/running/dctc-000024D3-127.0.0.1:411 "/FORCEQUIT"

Ici vous devrez pointer sur le bon socket, car si vous avez reçu ce message d’erreur: /home/bux/.dctc/running/dctc-000024D3-127.0.0.1:411 c’est que ce n’est pas le bon.

Dernière chose: La liste des commandes disponibles se trouve dans ce fichier: /usr/share/doc/dctc/tech/commands.gz et si vous cherchez un serveur (hub) Direct Connect en ligne de commande: OpenDCHub

Symfony2 tests: Benchmark de mise en RAM

Après l’article sur la mise en RAM de mysql j’ai effectué quelques tests de performances afin de voir quels sont les gains de performances lorsque l’intégralité des données sont en RAM.

J’ai donc, en plus d’y avoir mysql, placé les fichiers de mon projet dans la ram et exécuter les tests. Les résultats ne sont pas extraordinaire mais en voici le récapitulatif.

Tout sur disque, sans couverture du code:

Time: 02:36, Memory: 195.75Mb

OK (26 tests, 439 assertions)

Tout en RAM, sans couverture du code:

Time: 02:14, Memory: 186.75Mb
 
OK (26 tests, 439 assertions)

Tout sur disque, avec couverture du code:

Time: 22:12, Memory: 196.55Mb

OK (26 tests, 439 assertions)

Tout en RAM, avec couverture du code:

Time: 16:42, Memory: 189.00Mb

OK (26 tests, 439 assertions)

On constate que le gain de performance n’est pas énorme. Cependant il l’est suffisamment pour devenir significatif une fois votre projet très conséquent.